A married couple took a kitten from a shelter, but when they arrived home, they saw someone else in the carrier

Sometimes things happen in life that at first glance may seem like an accident. But, upon closer inspection, it begins to seem that this is the “will of fate.”

A young married couple, who already have one cat, decided on a responsible step – to get a second animal. For the pet, they came to the cat shelter.

In the shelter, they were shown cute kittens that had recently gotten there. Their mother was hit by a car, and the kids miraculously survived. For the will to live, kittens were given strong names – Apollo, Hercules and Artemis.

The kitty immediately jumped on the girl’s lap and bribed her. It was decided to take Artemis.

It was late enough and the lighting in the room was dim. While Artemis was being prepared for the move, the documents were being drawn up, the carrier stood open. Finally, the cat was seated and taken from the shelter to a new home.

A few hours later, the shelter manager received an unexpected text message from a married couple, it turned out that when they opened the carrier at home, there was not one, but two kittens. Black brother – Hercules managed to sneak into the carrier and went unnoticed, given the poor lighting.

The owner of the shelter apologized for the oversight, and said that she was waiting for the baby back to the shelter in the morning.

But in the morning, when she called the couple, she learned that they had changed their minds about giving Hercules back. They liked him so much in those few hours that they decided to leave him as well. After all, he himself chose them as his master, so the cat is clearly not one of the stupid ones)

Thus, the brother and sister were in safe hands, and in their lives everything is just fine! By the way, the third kitten named Apollo did not stay long in the shelter. Apparently, strong nicknames for animals carry a certain positive energy.

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Le reflet qu'elle voyait ne lui semblait pas complètement le sien. C'était comme si elle portait un masque, un faciès façonné par les attentes de sa famille, des traditions ancrées si profondément qu'elles se confondaient parfois avec sa propre identité. Depuis sa petite enfance, Isabelle avait appris à marcher sur le fil tendu des attentes familiales. Sa mère, une femme aux valeurs inébranlables, avait souvent utilisé des phrases comme des serments: "Dans cette maison, nous respectons nos traditions." Il n'était pas question de déshonorer la famille, et chaque pas en dehors des normes établies était perçu comme une menace. Bien qu'elle ait grandi dans un environnement chaleureux et aimant, ces mêmes attentes culturelles l'oppressaient subtilement. Ses parents avaient émigré du Maroc pour offrir à leurs enfants une vie pleine d'opportunités, mais les attaches culturelles restaient puissantes. 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Un soir, alors que la maison résonnait du murmure lointain de la télévision, Isabelle entendit une conversation entre ses parents qui, sans le savoir, allait cristalliser ses pensées. Sa mère avait exprimé à son père sa frustration de renoncer à son rêve de devenir enseignante pour s'occuper de sa famille. "C'était la bonne chose à faire," avait-elle dit, plus pour s'en convaincre que pour le convaincre. Ce commentaire s'incrusta dans l'esprit d'Isabelle, éveillant une douleur familière. Était-ce cela, le prix à payer pour la conformité? Abandonner un morceau de son âme pour répondre à une image idéalisée? Plusieurs jours passèrent avant qu'elle ne prenne sa décision. Isabelle se retrouva sur un banc du jardin public, ses mains serrées autour d'un carnet de croquis, dessinant mécaniquement les images qui lui venaient à l'esprit. Le vent léger caressait son visage, comme pour la réconforter. Soudain, une clarté inattendue transperça son esprit, comme un rayon de soleil à travers les nuages après une longue pluie. Elle comprit que son amour pour l'art n'était pas un caprice, mais une part essentielle de ce qu'elle était. Elle réalisa que la voie la plus difficile était souvent la plus honnête, et que vivre pour elle-même ne signifiait pas nécessairement abandonner sa famille. Elle pouvait être un pont entre les générations, honorant les traditions tout en forgeant sa propre voie. Ce soir-là, Isabelle rentra chez elle avec une sérénité nouvelle. Elle retrouva ses parents dans le salon, leurs visages tendus par la vie quotidienne. Elle prit une grande respiration, sa voix tremblante mais résolue. "Papa, Maman, je dois vous parler." Sa déclaration flotta dans l'air, pétrifiant le temps pour un instant. Ils l'écoutèrent, au début hésitants, puis plus attentifs, et finalement pleins de compréhension. 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