Les Pages Cachées de Mon Âme

Chers amis, voilà une confession que je n’ai jamais pensée partager, mais aujourd’hui, je sens qu’il est temps. C’est comme si une force intérieure m’a poussée à ouvrir cette boîte pandore qui dormait dans un coin de mon cœur. Cette histoire commence avec un simple carnet, un objet qui a longtemps été rangé au fond d’un tiroir, oublié entre des factures et des souvenirs d’une époque que j’aurais préféré laisser dans l’ombre.

Il y a une semaine, en cherchant un document que je croyais perdu, je suis tombée sur ce vieux carnet de cuir. Sa couverture était usée, le genre d’usure qui parle des années passées entre des mains hésitantes. En l’ouvrant, une odeur familière de papier jauni et d’encre séchée s’est échappée, et un frisson m’a parcouru l’échine.

J’ai commencé à le feuilleter, mes yeux tombant sur des lignes que je ne reconnaissais pas. Chaque mot me semblait à la fois étranger et étrangement familier. C’était mon écriture, mais les pensées exprimées semblaient appartenir à une autre personne, une version de moi que j’avais oubliée. Puis est venue une page particulière, une entrée datée du 15 avril 2010. Cette date, je m’en souviens vaguement, correspondait à une période tumultueuse de ma vie.

La lecture de cette entrée a été le déclencheur d’une découverte intime. J’avais écrit, avec une douleur palpable, sur la solitude qui me rongeait à cette époque, sur ce sentiment d’être constamment en décalage avec le monde qui m’entourait. Mais ce qui m’a frappée profondément, c’était l’aveu voilé d’un secret presque enfoui dans le texte : le doute constant sur mon identité, sur qui j’étais réellement.

Nous avons tous ces moments de doute, je pense, mais à cette époque, je m’étais réfugiée dans une façade construite sur les attentes des autres. En relisant mes propres mots, j’ai réalisé que j’avais passé tant d’années à ignorer cette partie de moi-même. J’ai longtemps prétendu être quelqu’un que je n’étais pas pour éviter de confronter cette vérité cachée : la recherche désespérée de mon propre moi.

J’ai laissé le carnet ouvert sur la table, me fixant comme s’il attendait que je reconnaisse enfin sa vérité. Ce soir-là, j’ai fait le tour de ma maison, chaque objet me renvoyant à mon passé, chaque pièce une scène de vie différente. J’ai pleuré, seule, dans le silence de la nuit, touchant enfin ces émotions que je n’avais jamais osé affronter.

Le lendemain, j’ai pris conscience que la découverte de cette vérité pourrait être libératrice plutôt qu’accablante. J’ai commencé à parler à mes proches, à leur montrer ce carnet, à leur dire ce que je ressentais. Leur réaction a été douce, pleine de compréhension et d’amour, des vagues d’empathie que je n’avais pas anticipées.

C’est un processus, mais j’apprends maintenant à me redécouvrir, à accepter toutes les facettes de mon être. Chaque jour est une petite victoire vers une clarté émotionnelle que je n’avais jamais connue. Aujourd’hui, je comprends que se découvrir est un voyage sans fin mais ô combien précieux. Je vous remercie de m’avoir écoutée.

Avec tendresse,
Marie

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