Les ombres de nos vérités

Salut à tous,

Je ne sais pas vraiment pourquoi je ressens le besoin de partager ça ici, sur ce réseau où nous postons principalement des moments heureux et filtrés de nos vies. Mais peut-être que c’est exactement cela : j’ai besoin de la catharsis que seule une confession publique peut apporter. Je vais être honnête. Aujourd’hui, j’ai découvert une vérité, une vérité sur moi-même que j’avais enterrée si profondément que je n’aurais jamais pensé qu’elle ressurgirait un jour.

Tout a commencé ce matin, lorsque j’ai décidé de nettoyer mon grenier. Je ne suis pas du genre à m’accrocher aux vieux objets, mais cela faisait longtemps que je n’étais pas monté là-haut. En déplaçant une vieille boîte en carton, je suis tombé sur une enveloppe jaunie par le temps, coincée sous une pile de magazines. Elle n’avait pas l’air de contenir quelque chose d’important, mais mes mains tremblaient légèrement lorsque je l’ai ouverte. À l’intérieur, il y avait une lettre de ma mère, écrite il y a plus de vingt ans.

Je me souviens de cette période, de l’adolescence avec sa confusion et ses émotions tumultueuses. Ma mère et moi, nous avions nos désaccords, souvent liés à mes choix de vie, mes fréquentations, mes aspirations. Mais cette lettre, elle était différente. Dans ses mots, je lisais son inquiétude, mais aussi un profond amour que je n’avais pas su reconnaître à l’époque. Elle parlait de ses espoirs pour moi, de ses craintes de me voir me perdre dans des chemins qui ne m’épanouiraient pas.

Ce qui m’a le plus marqué, c’est cette phrase : “Je sais que tu cherches quelque chose, un sens ou un rêve à accomplir, mais souviens-toi que la beauté de ta vie réside dans ce que tu choisis d’être, et non dans ce que les autres attendent de toi.”

J’ai lu et relu cette lettre, ressentant pour la première fois la profondeur de ses mots. Je me suis rendu compte que j’avais vécu ces dernières années en essayant de correspondre à des attentes extérieures, oubliant peu à peu mes propres rêves. Cette lettre m’a ouvert les yeux, pas parce qu’elle m’a dit quelque chose de nouveau, mais parce qu’elle a ravivé une partie de moi que j’avais perdue.

Alors, je veux remercier ma mère, même si elle n’est plus là pour entendre ces mots. Elle a semé en moi une graine d’amour et de vérité qui a finalement fleuri aujourd’hui. Et pour ça, je lui en serai éternellement reconnaissant.

Je partage cela ici pour vous rappeler que parfois, les vérités les plus profondes sont cachées dans les objets les plus inattendus. Gardez vos cœurs ouverts et souvenez-vous que chaque jour est une chance de se redécouvrir.

Je vous remercie de m’avoir lu, et peut-être que dans mes mots, certains d’entre vous trouveront aussi un écho.

Prenez soin de vous.

Hugo

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