Labrador helped a homeless kitten overcome fear and love people

A Siamese cat who was 5 weeks old was found frightened on the street and taken to the nearest shelter. The kitten in the shelter did not let anyone near him, he hissed and scratched at everyone. And the only one who found an approach to the kitten is the dog Truvi, who became the best friend for the Siamese cat.

The kitten was kept in a large cage, as they were worried that he could escape. From the first day in the shelter, the kitten was cared for by a volunteer girl, Candy. She many times had to contact with abyssal animals and find a common language with them. But this time Candy did not immediately manage to find contact with the Siamese cat, but her dog Truvi succeeded. When Truvi approached the kitten’s cage, the kitten at first began to hiss, but after a couple of minutes the kitten calmed down and stopped being angry at the Labrador.

Labrador helped the kitten to cope with stress and stop being afraid of everything and everyone around. He licked the kitten and showed affection to him as best he could and a couple of days later the volunteer girl was surprised when she heard that the kitty began to purr and became more affectionate.

After 2 weeks, a family came for the kitten who took him to a new house. Volunteer Candy told about the friendship of her dog with this kitten and then the new owners of the kitten allowed the dog to come to visit them so that the kitten could easily adapt.

Trouvy came to visit and they rushed around the apartment together and slept sweetly in a hug.

It’s such a happy story.

Aime ce poste? S'il vous plait partagez avec vos amis:
object(WP_Query)#3633 (54) { ["query"]=> array(4) { ["post_type"]=> string(4) "post" ["posts_per_page"]=> int(1) ["orderby"]=> string(4) "rand" ["meta_query"]=> array(1) { [0]=> array(3) { ["key"]=> string(6) "status" ["value"]=> string(5) "false" ["compare"]=> string(1) "=" } } } ["query_vars"]=> array(67) { ["post_type"]=> string(4) "post" ["posts_per_page"]=> int(1) ["orderby"]=> string(4) "rand" ["meta_query"]=> array(1) { [0]=> array(3) { ["key"]=> string(6) "status" ["value"]=> string(5) "false" ["compare"]=> string(1) "=" } } ["error"]=> string(0) "" ["m"]=> string(0) "" ["p"]=> int(0) ["post_parent"]=> string(0) "" ["subpost"]=> string(0) "" ["subpost_id"]=> string(0) "" ["attachment"]=> string(0) "" ["attachment_id"]=> int(0) ["name"]=> string(0) "" ["pagename"]=> string(0) "" ["page_id"]=> int(0) ["second"]=> string(0) "" ["minute"]=> string(0) "" ["hour"]=> string(0) "" ["day"]=> int(0) ["monthnum"]=> int(0) ["year"]=> int(0) ["w"]=> int(0) ["category_name"]=> string(0) "" ["tag"]=> string(0) "" ["cat"]=> string(0) "" ["tag_id"]=> string(0) "" ["author"]=> string(0) "" ["author_name"]=> string(0) "" ["feed"]=> string(0) "" ["tb"]=> string(0) "" ["paged"]=> int(0) ["meta_key"]=> string(0) "" ["meta_value"]=> string(0) "" ["preview"]=> string(0) "" ["s"]=> string(0) "" ["sentence"]=> string(0) "" ["title"]=> string(0) "" ["fields"]=> string(3) "all" ["menu_order"]=> string(0) "" ["embed"]=> string(0) "" ["category__in"]=> array(0) { } ["category__not_in"]=> array(0) { } ["category__and"]=> array(0) { } ["post__in"]=> array(0) { } ["post__not_in"]=> array(0) { } ["post_name__in"]=> array(0) { } ["tag__in"]=> array(0) { } ["tag__not_in"]=> array(0) { } ["tag__and"]=> array(0) { } ["tag_slug__in"]=> array(0) { } ["tag_slug__and"]=> array(0) { } ["post_parent__in"]=> array(0) { } ["post_parent__not_in"]=> array(0) { } ["author__in"]=> array(0) { } ["author__not_in"]=> array(0) { } ["search_columns"]=> array(0) { } ["ignore_sticky_posts"]=> bool(false) ["suppress_filters"]=> bool(false) ["cache_results"]=> bool(true) ["update_post_term_cache"]=> bool(true) ["update_menu_item_cache"]=> bool(false) ["lazy_load_term_meta"]=> bool(true) ["update_post_meta_cache"]=> bool(true) ["nopaging"]=> bool(false) ["comments_per_page"]=> string(2) "50" ["no_found_rows"]=> bool(false) ["order"]=> string(0) "" } ["tax_query"]=> object(WP_Tax_Query)#3628 (6) { ["queries"]=> array(0) { } ["relation"]=> string(3) "AND" ["table_aliases":protected]=> array(0) { } ["queried_terms"]=> array(0) { } ["primary_table"]=> string(8) "wp_posts" ["primary_id_column"]=> string(2) "ID" } ["meta_query"]=> object(WP_Meta_Query)#3622 (9) { ["queries"]=> array(2) { [0]=> array(3) { ["key"]=> string(6) "status" ["value"]=> string(5) "false" ["compare"]=> string(1) "=" } ["relation"]=> string(2) "OR" } ["relation"]=> string(3) "AND" ["meta_table"]=> string(11) "wp_postmeta" ["meta_id_column"]=> string(7) "post_id" ["primary_table"]=> string(8) "wp_posts" ["primary_id_column"]=> string(2) "ID" ["table_aliases":protected]=> array(1) { [0]=> string(11) "wp_postmeta" } ["clauses":protected]=> array(1) { ["wp_postmeta"]=> array(6) { ["key"]=> string(6) "status" ["value"]=> string(5) "false" ["compare"]=> string(1) "=" ["compare_key"]=> string(1) "=" ["alias"]=> string(11) "wp_postmeta" ["cast"]=> string(4) "CHAR" } } ["has_or_relation":protected]=> bool(false) } ["date_query"]=> bool(false) ["request"]=> string(366) "SELECT SQL_CALC_FOUND_ROWS wp_posts.ID FROM wp_posts INNER JOIN wp_postmeta ON ( wp_posts.ID = wp_postmeta.post_id ) WHERE 1=1 AND ( ( wp_postmeta.meta_key = 'status' AND wp_postmeta.meta_value = 'false' ) ) AND ((wp_posts.post_type = 'post' AND (wp_posts.post_status = 'publish'))) GROUP BY wp_posts.ID ORDER BY RAND() LIMIT 0, 1" ["posts"]=> array(1) { [0]=> object(WP_Post)#3635 (24) { ["ID"]=> int(85547) ["post_author"]=> string(1) "9" ["post_date"]=> string(19) "2025-05-15 12:18:06" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2025-05-15 08:18:06" ["post_content"]=> string(3913) "Aujourd’hui, je veux partager quelque chose qui couve en moi depuis des années, quelque chose que j’ai longtemps rejeté, nié, et évité. Cette confession n’est pas facile, mais la vérité ne l’est jamais, n’est-ce pas ? Je ne sais pas exactement quand ça a commencé, ce sentiment d’être incomplet, cette impression que quelque chose de vital manquait dans ma vie. Mais je sais précisément quand tout a changé. C’était lors d’un dimanche après-midi apparemment ordinaire. Le ciel était dégagé, le soleil se déposait tendrement sur les tuiles rouges de ma maison. Je m’étais décidée à faire du tri parmi de vieilles affaires dans le grenier, une tâche que je remettais depuis des mois. En fouillant parmi les cartons poussiéreux pleins de souvenirs, mes doigts ont effleuré quelque chose de doux et familier : une boîte en bois sculptée que mon père m’avait donnée des années auparavant. Je me suis assise sur le sol froid du grenier et j’ai ouvert la boîte. À l’intérieur se trouvait un assortiment d’objets hétéroclites : une vieille montre de poche, quelques lettres jaunies, et au milieu d’eux, une photo pliée. J’ai doucement défroissé le papier pour révéler une image de moi, enfant, mon père à mes côtés. Sa grande main reposait sur mon épaule, son sourire rayonnant de fierté. Mais ce n’était pas son sourire qui m’a frappée. C’était mes yeux. Il y avait dans ce regard, un monde que je n’avais jamais vu. Un mélange de joie pure et de doute enfantin. En regardant cette photo, j’ai ressenti un élan de chaleur, un torrent de souvenirs que j’avais presque oubliés. Les après-midis où nous jouions dans le jardin, ses histoires au coin du feu, son rire lorsqu’il m’attrapait dans ses bras. Mais derrière chaque éclat de bonheur, il y avait un silence pesant, un non-dit entre nous. J’ai pris une des lettres dans la boîte, écrite de sa main. Elle commençait par ces mots : "Ma chère Émilie, il y a tant de choses que j’aimerais te dire, mais que je n’ai jamais su comment exprimer..." Au fur et à mesure que je lisais, une vérité longtemps réprimée remontait des profondeurs de ma mémoire. Mon père n’était pas seulement mon héros ; il était aussi un homme avec ses peurs et ses regrets. Il avait vécu avec un secret, une douleur qu’il n’avait jamais osé partager. C’était une lettre d’amour, de pardon, de compréhension, mais aussi de profonde tristesse. En refermant la lettre, les larmes coulant sur mes joues, j’ai compris ce qui m’avait toujours manqué : la véritable compréhension de qui il était, au-delà de l’image idéalisée que je m’étais construite. J’avais négligé de voir l’homme derrière le masque du père parfait. Je m’étais engagée dans la même spirale de silence que lui, effrayée de regarder la vérité en face. Cette boîte, cette photo, cette lettre, ont été le point de bascule. J’ai réalisé que pour avancer, je devais accepter chaque facette de notre histoire. J’ai passé des heures dans ce grenier, à relire chaque mot, à revivre chaque souvenir. C’était comme si, pièce par pièce, je reconstruisais notre relation, mais cette fois, avec une perspective plus claire et plus honnête. Et maintenant, je suis prête à lâcher prise, à pardonner, à embrasser cette vérité que j’avais toujours évitée. Comprendre tout cela m’a apporté une paix que je n’aurais jamais cru possible. La douleur fait encore partie de moi, mais elle ne me définit plus. Je suis plus forte aujourd’hui, prête à vivre pleinement, sans le poids du passé. Alors, je vous pose la question, chers amis : combien de secrets avons-nous appris à vivre avec, au lieu de les confronter ? Peut-être est-il temps de descendre dans nos propres greniers poussiéreux et d’ouvrir nos boîtes en bois sculptées." ["post_title"]=> string(20) "Les Échos du Passé" ["post_excerpt"]=> string(0) "" ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(0) "" ["ping_status"]=> string(0) "" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(21) "les-echos-du-passe-12" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2025-05-15 12:18:06" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2025-05-15 08:18:06" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(43) "https://medialur.com/les-echos-du-passe-12/" ["menu_order"]=> int(0) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" } } ["post_count"]=> int(1) ["current_post"]=> int(-1) ["before_loop"]=> bool(true) ["in_the_loop"]=> bool(false) ["post"]=> object(WP_Post)#3635 (24) { ["ID"]=> int(85547) ["post_author"]=> string(1) "9" ["post_date"]=> string(19) "2025-05-15 12:18:06" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2025-05-15 08:18:06" ["post_content"]=> string(3913) "Aujourd’hui, je veux partager quelque chose qui couve en moi depuis des années, quelque chose que j’ai longtemps rejeté, nié, et évité. Cette confession n’est pas facile, mais la vérité ne l’est jamais, n’est-ce pas ? Je ne sais pas exactement quand ça a commencé, ce sentiment d’être incomplet, cette impression que quelque chose de vital manquait dans ma vie. Mais je sais précisément quand tout a changé. C’était lors d’un dimanche après-midi apparemment ordinaire. Le ciel était dégagé, le soleil se déposait tendrement sur les tuiles rouges de ma maison. Je m’étais décidée à faire du tri parmi de vieilles affaires dans le grenier, une tâche que je remettais depuis des mois. En fouillant parmi les cartons poussiéreux pleins de souvenirs, mes doigts ont effleuré quelque chose de doux et familier : une boîte en bois sculptée que mon père m’avait donnée des années auparavant. Je me suis assise sur le sol froid du grenier et j’ai ouvert la boîte. À l’intérieur se trouvait un assortiment d’objets hétéroclites : une vieille montre de poche, quelques lettres jaunies, et au milieu d’eux, une photo pliée. J’ai doucement défroissé le papier pour révéler une image de moi, enfant, mon père à mes côtés. Sa grande main reposait sur mon épaule, son sourire rayonnant de fierté. Mais ce n’était pas son sourire qui m’a frappée. C’était mes yeux. Il y avait dans ce regard, un monde que je n’avais jamais vu. Un mélange de joie pure et de doute enfantin. En regardant cette photo, j’ai ressenti un élan de chaleur, un torrent de souvenirs que j’avais presque oubliés. Les après-midis où nous jouions dans le jardin, ses histoires au coin du feu, son rire lorsqu’il m’attrapait dans ses bras. Mais derrière chaque éclat de bonheur, il y avait un silence pesant, un non-dit entre nous. J’ai pris une des lettres dans la boîte, écrite de sa main. Elle commençait par ces mots : "Ma chère Émilie, il y a tant de choses que j’aimerais te dire, mais que je n’ai jamais su comment exprimer..." Au fur et à mesure que je lisais, une vérité longtemps réprimée remontait des profondeurs de ma mémoire. Mon père n’était pas seulement mon héros ; il était aussi un homme avec ses peurs et ses regrets. Il avait vécu avec un secret, une douleur qu’il n’avait jamais osé partager. C’était une lettre d’amour, de pardon, de compréhension, mais aussi de profonde tristesse. En refermant la lettre, les larmes coulant sur mes joues, j’ai compris ce qui m’avait toujours manqué : la véritable compréhension de qui il était, au-delà de l’image idéalisée que je m’étais construite. J’avais négligé de voir l’homme derrière le masque du père parfait. Je m’étais engagée dans la même spirale de silence que lui, effrayée de regarder la vérité en face. Cette boîte, cette photo, cette lettre, ont été le point de bascule. J’ai réalisé que pour avancer, je devais accepter chaque facette de notre histoire. J’ai passé des heures dans ce grenier, à relire chaque mot, à revivre chaque souvenir. C’était comme si, pièce par pièce, je reconstruisais notre relation, mais cette fois, avec une perspective plus claire et plus honnête. Et maintenant, je suis prête à lâcher prise, à pardonner, à embrasser cette vérité que j’avais toujours évitée. Comprendre tout cela m’a apporté une paix que je n’aurais jamais cru possible. La douleur fait encore partie de moi, mais elle ne me définit plus. Je suis plus forte aujourd’hui, prête à vivre pleinement, sans le poids du passé. Alors, je vous pose la question, chers amis : combien de secrets avons-nous appris à vivre avec, au lieu de les confronter ? Peut-être est-il temps de descendre dans nos propres greniers poussiéreux et d’ouvrir nos boîtes en bois sculptées." ["post_title"]=> string(20) "Les Échos du Passé" ["post_excerpt"]=> string(0) "" ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(0) "" ["ping_status"]=> string(0) "" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(21) "les-echos-du-passe-12" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2025-05-15 12:18:06" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2025-05-15 08:18:06" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(43) "https://medialur.com/les-echos-du-passe-12/" ["menu_order"]=> int(0) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" } ["comment_count"]=> int(0) ["current_comment"]=> int(-1) ["found_posts"]=> int(814) ["max_num_pages"]=> int(814) ["max_num_comment_pages"]=> int(0) ["is_single"]=> bool(false) ["is_preview"]=> bool(false) ["is_page"]=> bool(false) ["is_archive"]=> bool(false) ["is_date"]=> bool(false) ["is_year"]=> bool(false) ["is_month"]=> bool(false) ["is_day"]=> bool(false) ["is_time"]=> bool(false) ["is_author"]=> bool(false) ["is_category"]=> bool(false) ["is_tag"]=> bool(false) ["is_tax"]=> bool(false) ["is_search"]=> bool(false) ["is_feed"]=> bool(false) ["is_comment_feed"]=> bool(false) ["is_trackback"]=> bool(false) ["is_home"]=> bool(true) ["is_privacy_policy"]=> bool(false) ["is_404"]=> bool(false) ["is_embed"]=> bool(false) ["is_paged"]=> bool(false) ["is_admin"]=> bool(false) ["is_attachment"]=> bool(false) ["is_singular"]=> bool(false) ["is_robots"]=> bool(false) ["is_favicon"]=> bool(false) ["is_posts_page"]=> bool(false) ["is_post_type_archive"]=> bool(false) ["query_vars_hash":"WP_Query":private]=> string(32) "647df522ab0bff843a29e8f215b1dee4" ["query_vars_changed":"WP_Query":private]=> bool(false) ["thumbnails_cached"]=> bool(false) ["allow_query_attachment_by_filename":protected]=> bool(false) ["stopwords":"WP_Query":private]=> NULL ["compat_fields":"WP_Query":private]=> array(2) { [0]=> string(15) "query_vars_hash" [1]=> string(18) "query_vars_changed" } ["compat_methods":"WP_Query":private]=> array(2) { [0]=> string(16) "init_query_flags" [1]=> string(15) "parse_tax_query" } ["query_cache_key":"WP_Query":private]=> string(0) "" }